Et puis, sans trop m'en rendre compte, j'étais toute nue dans son salon (enfin, pas tout à fait nue, j'avais encore mes chaussettes à pois). Lui étendu, moi assise sur lui, «euuuuh». «Y'a un problème?», qu'il a demandé, «bein, t'as quand même un frère qui pourrait se réveiller d'un moment à l'autre». Il m'a embrassée encore puis il a dit qu'il avait envie d'une cigarette là, maintenant, alors que j'étais à poil dans son salon. Il s'est levé et, voyant que je ne le suivais pas, m'a dit : «quoi, t'es gênée?». J'ai hoché la tête gentiment, avec cette tronche d'enfant que j'arrive à faire et qui les fait tous craquer. Je n'attire pas les hommes parce que je suis désirable ou sexy, mais bien parce que je suis mignonne. Il m'a enroulée dans une couverture et m'a trainé dans la cuisine où il a savouré sa clope, sous le ventilateur du four. «J'espère qu'elle est bonne», j'ai murmuré, en collant mon arrière-train contre ses hanches alors qu'il déposait sa cigarette dans son cendrier pour me prendre dans ses bras. Et me serrer. Fort.
Après, je me suis retrouvée toute nue mais dans sa chambre, cette fois. «Je veux écouter un film!», que j'ai dit, et évidemment j'ai choisi un film pour enfants. J'ai tenté fort bien de l'écouter les copains mais bon, c'était dur de se concentrer, avec tous ces doigts et léchouilles que je sentais sur mon corps. Il me faisait de longues caresses, commençant au genou, puis effleurant mon sexe, montant sur mon ventre et mes seins, pour finir en passant la main dans mes cheveux. Il en profitait aussi pour m'embrasser, me mordiller gentiment, passer sa langue (percée.. mais je dis ça comme ça!) sur la pointe de mon sein. Il m'a prise par les épaules et m'a montée sur lui alors qu'il était toujours habillé. Je me suis reculée, je l'ai regardé et j'ai grimacé. «Ça va?». Je me suis couchée à côté de lui et je l'ai regardé dans les yeux. Je trouvais ça con un peu. Je trouvais ça con parce qu'il me connait trop, parce que je lui ai déjà dit beaucoup d'histoires sur moi, parce que je fréquentais Benjamin quand je l'ai connu et je lui raconté plein de choses. Je trouvais ça con parce qu'il m'écoute toujours, parce qu'il me conseille, parce qu'il est patient avec moi et toujours compréhensif. Et puis voilà, il connaissait déjà mon corps aussi, alors que moi je ne sais rien de lui, et qu'à ce moment-là, il frottait son corps habillé sur le mien. «Est-ce que tu m'as invitée chez toi juste pour coucher avec moi?». Il m'a rassurée de que non, il a dit qu'il en avait envie mais que c'était loin d'être seulement pour ça. Je lui ai avoué que je n'en avais pas envie aujourd'hui parce que ça me faisait bizarre de coucher avec lui le jour même où l'on s'était embrasser pour la première fois. Il a dit qu'il comprenait et à continuer à m'embrasser et à me serrer, me serrer très fort.
C'est un gentil garçon celui-là. Ça vous étonne si je vous dit que c'est un ex-drogué..? Mais plus maintenant, même pas un joint une fois de temps en temps. Il est un peu plus vieux, mature, brillant, même s'il a des goûts musicaux douteux - on peut pas tout avoir. Là je vous imagine déjà derrière vos écrans, «quoi, un autre gars?!». Ha, vous en faites pas, les copains. Je prends mon temps cette fois, mais je vous jure que pour une fois, c'est un bon garçon. Et quoi de mieux que de dormir collés en ces froides nuits d'hiver?
Après, je me suis retrouvée toute nue mais dans sa chambre, cette fois. «Je veux écouter un film!», que j'ai dit, et évidemment j'ai choisi un film pour enfants. J'ai tenté fort bien de l'écouter les copains mais bon, c'était dur de se concentrer, avec tous ces doigts et léchouilles que je sentais sur mon corps. Il me faisait de longues caresses, commençant au genou, puis effleurant mon sexe, montant sur mon ventre et mes seins, pour finir en passant la main dans mes cheveux. Il en profitait aussi pour m'embrasser, me mordiller gentiment, passer sa langue (percée.. mais je dis ça comme ça!) sur la pointe de mon sein. Il m'a prise par les épaules et m'a montée sur lui alors qu'il était toujours habillé. Je me suis reculée, je l'ai regardé et j'ai grimacé. «Ça va?». Je me suis couchée à côté de lui et je l'ai regardé dans les yeux. Je trouvais ça con un peu. Je trouvais ça con parce qu'il me connait trop, parce que je lui ai déjà dit beaucoup d'histoires sur moi, parce que je fréquentais Benjamin quand je l'ai connu et je lui raconté plein de choses. Je trouvais ça con parce qu'il m'écoute toujours, parce qu'il me conseille, parce qu'il est patient avec moi et toujours compréhensif. Et puis voilà, il connaissait déjà mon corps aussi, alors que moi je ne sais rien de lui, et qu'à ce moment-là, il frottait son corps habillé sur le mien. «Est-ce que tu m'as invitée chez toi juste pour coucher avec moi?». Il m'a rassurée de que non, il a dit qu'il en avait envie mais que c'était loin d'être seulement pour ça. Je lui ai avoué que je n'en avais pas envie aujourd'hui parce que ça me faisait bizarre de coucher avec lui le jour même où l'on s'était embrasser pour la première fois. Il a dit qu'il comprenait et à continuer à m'embrasser et à me serrer, me serrer très fort.
C'est un gentil garçon celui-là. Ça vous étonne si je vous dit que c'est un ex-drogué..? Mais plus maintenant, même pas un joint une fois de temps en temps. Il est un peu plus vieux, mature, brillant, même s'il a des goûts musicaux douteux - on peut pas tout avoir. Là je vous imagine déjà derrière vos écrans, «quoi, un autre gars?!». Ha, vous en faites pas, les copains. Je prends mon temps cette fois, mais je vous jure que pour une fois, c'est un bon garçon. Et quoi de mieux que de dormir collés en ces froides nuits d'hiver?
(et puis, c'est mon valentin)
Je suis bien fière de cette photo, je l'avoue.